La cour d’appel d’Aix-en-Provence a confirmé en grande partie une décision du juge aux affaires familiales de Nice qui, en janvier 2009, avait prononcé le divorce aux torts exclusifs de l’époux.
Selon les magistrats, « la quasi-absence de relations sexuelles pendant plusieurs années, certes avec des reprises ponctuelles, a contribué à la dégradation des rapports entre époux ».
Les attentes de l’épouse, ont été jugées « légitimes, dans la mesure où les rapports sexuels entre époux sont notamment l’expression de l’affection qu’ils se portent mutuellement, tandis qu’ils s’inscrivent dans la continuité les devoirs découlant du mariage ».
Source : cabinet Legis / Groupe Indicia – Détective Marseille